vidéos médicales




  • appendicite :


L
'appendicite est une inflammation de l’appendice iléo-cæcal. L'appendicite peut survenir à tout âge mais surtout avant 30 ans. Non traitée, elle peut être mortelle, principalement par péritonite et septicémie ; elle requiert donc une appendicectomie en urgence.


L'appendicite est l'urgence chirurgicale la plus fréquente. Les tableaux cliniques peuvent prendre des formes diverses, complexes (polymorphisme symptomatique), mais ne présentent pas de parallélisme anatomo-clinique. Le diagnostic de l'appendicite typique est clinique.





  • Calcul rénal :


Le calcul rénal (du latin calculus, caillou), également appelés néphrolithiaseurolithiaselithiase rénale, ou lithiase urinaire est une accrétion(cristalline) solide de minéraux dissous (de la whewellite) dans l'urine et qui se forment dans les reins ou les uretères.
La taille des calculs varie d'un grain de sable à celle d'une balle de golf. Les plus gros, dits « coraliformes », moulent l'intérieur du rein, ayant ainsi l'aspect de branches de corail. Les calculs rénaux sont typiquement évacués par le jet de l'urine ; s'ils grandissent jusqu'à une taille relativement importante avant de passer (de l'ordre de quelques millimètres), l'obstruction d'un uretère et la distension des cavités rénales par l'urine peut provoquer des violentes douleurs (dites « coliques néphrétiques »), siégeant en général au flanc et dans le bas abdomen.
Certains calculs sont idiopathiques, c'est-à-dire qu'on ne comprend pas encore les causes de leur apparition1.
Le calcium relativement dense rend ces calculs radio-opaques et ils peuvent être détectés par radiographie de l'abdomen. L'échographie, le scanner, radiographie numérisée, sont les examens de diagnostic les plus précis pour la détection des calculs rénaux.



Migraine :


La migraine (du grec ancien ημικρανίον / êmikraníon, douleur touchant la « moitié du crâne ») est une céphalée chronique fréquente, invalidante, caractérisée par des maux de tête et des nausées. La migraine est trois fois plus fréquente chez les femmes que chez les hommes1.
Une migraine dure généralement entre 4 et 72 heures selon sa sévérité ; les symptômes incluent nauséesvomissementsphotophobie (grande sensibilité à la lumière), phonophobie (grande sensibilité au son) ; les symptômes s'aggravent généralement à cause des activités journalières2. Approximativement un tiers des individus souffrant d'une migraine font l'expérience d'une illusion visuelle (aura) ou d'un autre trouble d'ordre sensoriel ou moteur agissant comme un signe précurseur3.



IRM :

L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est une technique d'imagerie médicale permettant d'obtenir des vues 2D ou 3D de l'intérieur du corps de façon non-invasive avec une résolution relativement élevée. L'IRM repose sur le principe de la résonance magnétique nucléaire (RMN) 1 qui utilise les propriétés quantiques des noyaux atomiques pour la spectroscopie en analyse chimiquenote 1. L'IRM nécessite un champ magnétique puissant et stable produit par un aimant supraconducteur qui crée une magnétisation des tissus par alignement des moments magnétiquesde spin. Des champs magnétiques oscillants plus faibles, dits radiofréquence, sont alors appliqués de façon à légèrement modifier cet alignement et produire un phénomène de précession qui donne lieu à un signal électromagnétique mesurable.





TABAGISME ET DÉPENDANCE :



HOAQUET : 


En médecine, le hoquet (/ʔɔkɛ/), ou myoclonie phrénoglottique pour les médecins, est un réflexe respiratoire caractérisé par une succession de contractions inspiratoires spasmodiques,incontrôlables et involontaires des muscles inspiratoires (diaphragmemuscle intercostal (en) externe, muscles scalènes (en) et parfois les muscles intercostaux parasternaux et les muscles sterno-cléido-mastoïdiens) concomitante d'une inhibition des muscles expiratoires, suivies 35 ms plus tard d'une constriction (resserrement circulaire) de la glotte. L'arrivée d'air est alors freinée et a du mal à pénétrer dans la trachée et les poumons, ce qui provoque une incommodité et une vibration des cordes vocales, au niveau de l'épiglotte : le bruit glottal caractéristique du hoquet s'échappe1(Écoutez).
Le plus souvent, le hoquet est momentané, banal et complètement inoffensif. Il touche l'ensemble de la population humaine, y compris le fœtus, et d'autres mammifères. Ce hoquet est le plus souvent lié à une dilatation de l'estomac, situé près du diaphragme, après un repas trop copieux ou ingurgité trop rapidement.
Mais il peut, dans certains cas pathologiques, se prolonger et devenir nocif pour la santé. Le hoquet « chronique » peut ainsi s'étendre pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois, voire plusieurs années, comme en témoigne le record de Charles Osborne, qui a hoqueté pendant 68 ans. Toutefois, ces situations sont très rares (1 personne sur 100 000 est ou a été touchée par le hoquet « chronique » 2,3) et sont, la plupart du temps, les conséquences d'une affection abdominale ou nerveuse.
Les médecins distinguent ainsi trois types de hoquets:
  • le hoquet bénin : le plus fréquent, qui ne dure généralement que quelques minutes.
  • le hoquet persistant : qui dure plus de 48h.
  • le hoquet réfractaire : qui dure plus d'un mois.













Grossesse et fécondation :




RGO : 


Le reflux gastro-œsophagien est défini par le passage dans l'œsophage d'une partie du contenu gastrique, acide. Il s'agit d'un phénomène normalement intermittent et silencieux qui se produit chez tous les sujets, en particulier après les repas. Dans certains cas cependant, un reflux excessivement fréquent et/ou prolongé peut être responsable de la survenue de symptômes gênants (brûlures rétrosternales, régurgitations acides) et parfois de complications, définissant un reflux gastro-œsophagien pathologique.
Le reflux gastro-œsophagien pathologique est un motif fréquent de consultations en médecine.


Cellules du System nerveux :



LA ménopause :


La ménopause, du grec méno, règles et pause, arrêt, appelée aussi âge climatérique, est l'arrêt des règles. Lors de la ménopause, la femme ne possède plus suffisamment de follicules car ceux-ci ont été soit utilisés pour le cycle ovarien soit les cellules folliculaires ont dégénéré par le phénomène d'atrésie folliculaire. Elle est divisée en plusieurs étapes : la périménopause (période d'irrégularités des cycles menstruels précédant la ménopause et l'année qui suit l'arrêt apparent des règles) et la post-ménopause (ménopause confirmée).
La ménopause se produit habituellement vers la fin de la quarantaine ou le début de la cinquantaine de la femme.



LOMBALGIE :

Une lombalgie est un état douloureux du rachis lombaire. Il s'agit du mal de reins ou, quand l'affection résulte plus exactement d'un mouvement excessif, du tour de reins. La lombalgie peut être aiguë (il est alors question de lumbago) ou devenir chronique, invalidante.











vidéos de neurologie : 
  • vertige :

I. Définition

Un vertige est une illusion de déplacement de l’environnement . Lorsqu’il est rotatoire, il implique les voies qui traitent les informations issues des canaux semicirculaires. Il est le plus souvent horizontal (les canaux antérieurs et postérieurs annulent leurs effets dans les lésions globales), mais des rotations antéropostérieures sont quelquefois décrites (atteinte sélective d’un des plans). Les lésions des voies otolithiques créent des illusions de déplacement linéaires, de tangage ou de bascule de l’espace, à l’extrême le haut devient bas et inversement.
Le terme de vertige n’est pas toujours pour celui qui l’exprime l’illusion du déplacement de l’espace, mais un inconfort lié à la perception d’une instabilité comme la sensation d’ébriété. Cette perception apparaît souvent au mouvement et, lorsqu’elle n’est perçue qu’à la station debout ou la marche, elle est la traduction subjective d’une ataxie. Elle est souvent décrite dans les manuels médicaux comme « faux vertige ». Il faut cependant comprendre qu’il s’agit d’un authentique symptôme vestibulaire correspondant le plus souvent à une lésion chronique de moindre intensité.
L’interprétation du « vertige » n’est pas toujours vestibulaire . Si la sensation exprimée est bien l’une des précédentes, elle peut correspondre à un mécanisme primitif qui n’est pas vestibulaire :
  • une chute du débit sanguin cérébral crée un ensemble de symptômes sensoriels comme une impression de brouillard visuel, d’acouphènes, de vertiges qui accompagnent la lipothymie du malaise vagal, de l’hypotension orthostatique ou de l’hyperventilation de la crise d’angoisse ; le vécu est vestibulaire, l’origine est dans des mécanismes hémodynamiques ;
  • comme la douleur, le vertige peut être psychogène ; une dimension phobique s’associe facilement au vertige chronique ; le vertige phobique postural est un exemple courant. La physiologie explique qu’une douleur peut persister et devenir chronique, alors que le mécanisme algogène primitif a disparu. Il en est de même pour le vertige où des mécanismes de renforcement superposables contribuent à maintenir un symptôme dont la cause n’est plus opérante. Le vécu est vestibulaire, l’origine n’est pas somatique.


  • SYNDROME SYRINGOMYELIQUE :


La lésion centro-médullaire, généralement une fente syringomyélique, interrompt les voies spinothalamiques qui décussent dans la moelle. Il existe donc un déficit sensitif suspendu thermo-algique respectant la sensibilité proprioceptive. On observe aussi une atteinte des faisceaux pyramidaux et surtout une atteinte des cornes antérieures de la moelle provoquant une amyotrophie progressive du territoire correspondant. 













  • syndrome de brown-séquard :




  • steppage : 

Le steppage (en anglais : steppage gait ou footdrop gait) est une anomalie de la marche due à une atteinte nerveuse, caractérisée par une démarche particulière :
  • la pointe du pied est constamment abaissée.
  • le patient relève très haut sa jambe et son genou à chaque pas pour ne pas toucher le sol avec la pointe du pied. La flexion de la cuisse sur le bassin est anormalement importante.
Le steppage est due à une atteinte nerveuse entrainant une paralysie des muscles releveurs du pied et des orteils notamment le muscle tibial antérieur, le muscle court extenseur des orteils et lemuscle long extenseur des orteils.
On retrouve le steppage dans toutes les neuropathies avec atteinte motrice atteignant les muscles de la loge antéro-externe de la jambe. Les étiologies des neuropathies sont multiples. Le steppage peut aussi apparaître dans certaines myopathies distales ou généralisées, comme par exemple chez des patients atteints de DFSH (dystrophie facio-scapulo-humérale).
Le traitement est celui de la neuropathie. Les steppages secondaires peuvent être appareillés avec une orthèse maintenant le pied à angle droit.





  • signe de lhermitte :




  • signe de barré






  • signe de Babinski :




  • myopathie :




  • réflexe tricipital :




  • réflexe cutané plantaire :




  • réflexe achilien :





  • paralysie faciale centrale :




  • pallesthésie :



  • myotonie :




  • myasténie oculaire :




  • myasténie géneralisé :




  • hémiplégie flasque :




  • fasculation :




  • examen de sensiblité de la face :




  • réflexe routilien :




  • dystonie du pied :




  • dyskinésie du pied :







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